L'Oiseau n'a plus d'ailes




Lettres de Peter Schwiefert
Texte de la collection Témoins/Gallimard 

Adaptation
François Duval et Roland Farrugia 

Mise en scène 
et interprétation François Duval
avec la voix de Judith Magre

Lumière Vincent Le Nouëne

Photos Jacques Polony


Ce livre ne ressemble à aucun autre : les lettres privées d'un jeune Allemand victime d'un destin exemplaire et tragique. Peter Schwiefert, demi-juif de famille bourgeoise et libérale, décide à 21 ans, en 1938, de quitter l'Allemagne par haine du nazisme et meurt à 27 ans, à la veille de la victoire, dans les rangs des Forces Françaises Libres.
Ces lettres conservées à Jérusalem par sa sœur qui n'imaginait pas qu'elles puissent être publiées et confiées à Claude Lanzmann, sont tout ce qu'il nous a légué. Car s'il eut le dessein d'écrire - lui qui fait songer au Camus de 20 ans - l'époque ne lui laissa le temps que de lutter pour survivre dans la misère et l'émigration, puis sur les champs de bataille d'Afrique, d'Italie et de France. Les années qui bouleversèrent la conscience de l'Europe, ce jeune homme choisit de les vivre en pleine conscience, jusqu'aux ultimes conséquences, comme sa destinée intime et particulière.


Le spectacle a été joué 217 fois dans des lieux tels que :
Théâtre National de Belgique, Théâtre de l'Escalier des Doms (Avignon, 2 années consécutives), Théâtre de la Main d'Or , Théâtre des Mathurins (Paris), Maison de la Culture de Tournai, Saint-Denis de la Réunion, Nouveau Théâtre d'Angers, Théâtre du Muselet etc... 
Ce spectacle a également reçu les labels de France Culture et Amnesty International.


Presse 


On doit aller voir ces jours-ci, écouter, voir François Duval dire les lettres de Peter Schwiefert.
Mathilde la Bardonnie | LIBERATION

François Duval n'incarne pas le jeune écrivain... il en est littéralement habité.
Joshka Schidlow | TELERAMA

Ce document monté avec intelligence et subtilité vous fera chavirer.
Claude Aubry | LE POINT 

Si vous êtes tentés par un spectacle pas bête, rageur et qui attaque aux tripes...
| CHARLIE HEBDO

Au chapitre de la perfection on retient L'Oiseau n'a plus d'ailes d'après Peter Schwiefert (...) François Duval, avec ces mots, atteint à l'émotion la plus élevée et la plus partageable.
Gilles Costaz | POLITIS